J'avais passé la journée à cherché un glacié, c'était souvent comme ça " Quand je ne cherche rien je trouve, et quand je cherche je ne trouve pas ". Je voulais juste un simple glacié, car la chaleur d'ici était bien différente qu'en Angleterre, même très différente. Mais je n'avais pas à me plaindre, ma soeur m'avait fait tous un discourt hier soir, comme quoi il y avait d'autre pays encore plus chaud, ou encore une chaleur extotique très dure à supporté dont elle avait déjà eu l'expérience. Moi je n'ai jamais aimé la chaleur, oui c'est assez étrange venant surtout d'une fille, maintenant n'allé pas imaginé que j'adore le froid, non . Le froid je n'y fait pas trop attention, mais la chaleur, quand il y a trop de chaleur c'est horrible, on dirait que tous nos gestes sont au ralentit, on n'a pas l'appétit et on transpire de partout alors du coup on se sens sale ! Cet après-midi j'avais décidé d'un peu me repéré dans le cartier, car personnellement je connaissait rien au Brésil. J'avais été voir la maison de Natanael mais je n'ai pas ausé sonné, je ne me sentais pas encore prête à affronté son regard. Alors je suis repartie découvrir un peu le village, je dois avoué que la pauvreté m'avait beaucoup touché. A l'hôtel tous est beau et joli, on pourrait croire que c'est le paradis et puis dès qu'on sort, ce n'est qu'un tas de poussière et de sable. J'avais du mal à m'imaginé, si j'avais décidé de partir avec Natanael et venir vivre ici. Je préfère cent fois mieu l'Angleterre même si parfois le temps n'est pas au rendez-vous. Après plusieur heure de marche, j'avais commencé à avoir très chaud, que je suppliait le seigneur de tombé sur un glacier. D'habitude je ne crois pas en Dieu mais quand je veux vraiment quelque chose, je fais genre, oui c'est très stupide mais je peux pas m'empêché. Finalement j'aperçu au loin des personnes sortant d'un magasin avec une glace à la main. J'étais au ange, enfin j'allais m'installé tranquillement me reposé en mangeant une bonne glace. Je hâta le pas pour me dirigé vers se petit magasin adorable qui allait faire mon bonheur. Je poussa la porte délicatement regardant autour de moi, mais sans vraiment reconnaitre les personne. Pourtant mon regard s'arrêta sur une personne, il me fallut quelque seconde pour reconnaitre son visage. C'était Michael, j'étais étonné de le voir ici, car depuis qu'on c'était séparé à l'aréoport on ne s'était plus revu et je dois avoué que sa compagnie n'était pas du tous désagréable et passé quelque jour avec lui était une idée très bien. On s'était rencontré à l'aréoport et on tout de suite été à l'aise, ce qui est très rare avec moi et le sexe opposé. je m'avança vers lui. «Aurait-il une place pour une petite blonde ?», il leva les yeux vers moi et pris comme moi quelque seconde avant de se souvenir de ma tête, il fallait avoué qu'il était très beau, ses cheveux en bataille comme ça me faisait pensé à Natanael sauf que lui était blond ! Il me sourit et je pris place en face de lui tout en gardant un grand sourire.

Mon objectif majeur depuis mon arrivée au Brésil était de m'intégrer facilement et rapidement à la population et à la ville. J'avais pris le temps de visiter chaque quartier, de rencontrer de nombreuses personnes et de participer aux soirées organisées par les bars et clubs de la région. Ma liste de connaissances se remplissait de plus en plus vite et je trouvais le moyen de m'occuper tous les jours. Cela me changeait de mes soirées passées devant la télé lorsque je me trouvais en Californie. Aujourd'hui, mon visage légèrement fatigué par les excès de la veille prouvait que ma soirée n'avait pas été de tout repos. Cependant je me sentais en pleine forme et je marchais dans les rues d'Ipanama d'un pas rapide et joyeux. C'est avec mes écouteurs d'ipod dans les oreilles, les rayons du soleil en pleine figure qui se reflétaient sur mes lunettes et mon t-shirt coloré que je sentais se coller à ma peau transpirante que j'avançais à la recherche d'un glacier.

J'avais eu l'occasion de rencontré le patron lors d'une soirée; un jeune homme très motivé qui savait attiré la clientèle. Ce soir là je lui avais fait la promesse de passer le voir dans son petit magasin au cours de la semaine. Je profitai donc de ce temps chaud et étouffant pour lui rendre visite et me rafraîchir devant une glace. Presque arrivé devant la porte, je commençais à réfléchir à mes parfums favoris, espérant être satisfait de ce que mon ami me servirait. Devant l'entrée on pouvait apperçevoir des tables et chaises colorées, certaines occupées par des couples ou groupes d'amis. Je traversai cette rangée de table puis entrai tout en retirant mes écouteurs et mes lunettes. Un large sourire aux lèvres, je m'exclamai en voyant ma connaissance derrière le comptoir, qui vint aussitôt me saluer. Nous discutions rapidement puis, face au menu, il me demanda si j'avais fait mon choix. Sincère, je lui répondis; « Je te fais confiance, sers-moi la glace la plus spectaculaire de tous les temps ! » Je lâchai un léger rire puis ajoutai, « J'aime le chocolat, la vanille, le café, le caramel, la pêche, la framboise... » Je m'arrêtai là, imaginant une coupe de glace gigantesque contenant plusieurs boules de chaque parfum. Je remerciai le jeune homme puis me posai à une table près du comptoir.

J'observais les passants à travers la grande baie vitrée qui permettait d'éclairer la salle. Je tapotais la table avec le bout de mes doigts sur le rythme de la musique de fond. Me sentant legèrement seul et mon ami ayant disparu dans l'arrière-boutique, je sortis mon portable de ma poche et me mis à écrire quelques textos. À peine avais eus-je le temps d'en envoyé deux, qu'une voix féminine se manifesta. « Aurait-il une place pour une petite blonde ? » Je levai soudainement les yeux et rangeai machinalement mon portable. Mon regard resta fixé sur la demoiselle qui se trouvait en face moi, une jolie blonde dont le visage me paraissait familier. Je me levais soudainement, cognant la table et faisant grincer la chaise. Un large sourire s'était dessiné sur mes lèvres, je m'approchai de la jeune femme et la saluai avec une bise amicale. « Chanel ! Ça me fait plaisir de te revoir ! » Je repris place puis l'invitai à s'asseoir à travers un geste montrant la chaise voisine. « Je te payes une glace ? » De bonne humeur, je restai très souriant. Ayant rencontré Chanel dès mon arrivée à l'aéroport du Brésil et ne l'ayant pas revue depuis, l'idée de la croiser m'avait presque échappé. J'étais très surpris de la voir en ma compagnie.« Alors, comment tu vas ? Tu t'es bien installée ? » Nous avions beaucoup de choses à nous dire, car à l'aéroport le temps avait été limité et nous n'avions pas pû faire amplement connaissance.